Risques de Contrepartie sur opérations de Marché

Réduire les pertes en cas de défaillance

Depuis la crise la crise financière de 2008, les Risques de Contrepartie sont devenu prégnants pour les régulateurs et les superviseurs. Depuis Bâle III, il sont pris en compte dans le calcul des exigences en fonds propres. A vocation règlementaires ou pour monitorer la définition de limites de trading par contrepartie, les Risques de Contrepartie sont aussi pilotés en risque économique.

Sur le périmètre du non listé, EMIR a apporté une réponse forte grâce au trading centralisé rendu obligatoire pour certaines opérations OTC. Cette réglementation impose une chambre de compensation centrale (CCP) comme intermédiaire aux contreparties. Les Risques de Contrepartie sont alors atténués, réduisant les effets de contagion de défaut entre acteurs financiers.

Concernant les opérations de Marché, le Risque de Contrepartie recouvre plusieurs formes : exposition de remplacement, exposition au risque débiteur et exposition au risque de règlement/livraison. Le challenge des banques se focalise sur l'exposition au risque de remplacement, forme principale de ce risque, car elle nécessite de déterminer le Mark to Futur de la transaction à toute date de défaut possible de la contrepartie comprise entre la date de conclusion de l'opération et son échéance.

Nos équipes interviennent à différents niveaux : transformation d'organisations et de processus, gestion de projets ainsi qu' accompagnement des équipes Métier pour la modélisation, le monitoring et l'analyse des indicateurs (XVA, IM/VM, Collateral Management, EEPE/PFE).

Depuis la crise la crise financière de 2008, les Risques de Contrepartie sont devenu prégnants pour les régulateurs et les superviseurs. Depuis Bâle III, il sont pris en compte dans le calcul des exigences en fonds propres. A vocation règlementaires ou pour monitorer la définition de limites de trading par contrepartie, les Risques de Contrepartie sont aussi pilotés en risque économique.

Sur le périmètre du non listé, EMIR a apporté une réponse forte grâce au trading centralisé rendu obligatoire pour certaines opérations OTC. Cette réglementation impose une chambre de compensation centrale (CCP) comme intermédiaire aux contreparties. Les Risques de Contrepartie sont alors atténués, réduisant les effets de contagion de défaut entre acteurs financiers.

Concernant les opérations de Marché, le Risque de Contrepartie recouvre plusieurs formes : exposition de remplacement, exposition au risque débiteur et exposition au risque de règlement/livraison. Le challenge des banques se focalise sur l'exposition au risque de remplacement, forme principale de ce risque, car elle nécessite de déterminer le Mark to Futur de la transaction à toute date de défaut possible de la contrepartie comprise entre la date de conclusion de l'opération et son échéance.

Nos équipes interviennent à différents niveaux : transformation d'organisations et de processus, gestion de projets ainsi qu' accompagnement des équipes Métier pour la modélisation, le monitoring et l'analyse des indicateurs (XVA, IM/VM, Collateral Management, EEPE/PFE).